L e Baiser que l’on dépose du bout des lèvres telle une confidence,
E mpreinte qui peut, il est vrai sceller toute une existence,
B aiser de tous les baisers, couleur passion qui porte et donne la cadence,
A nnihilant tout sur son passage d’un rouge évocateur jusqu’à se faire violence,
I l nous prend sous son aile avec Cupidon pour protecteur, avocat de notre défense, avec prudence,
S ous son emprise, on prend son envol tel un oiseau migrateur, tout paraît évidence,
E tendard, armoirerie des premiers amoureux, tout semble très flatteur, se laissant emporter par la providence,
R écompense, remerciement, enfin l’ultime celui qui tourne la dernière séquence…
©Lise Beverly
Nombre de Vues:
38 vues
Le baiser, on ne saurait s’en passer! Voilà un joli tour d’horizon qui m’a plu. Merci Lise!
Ah le beau baiser. Tout en acrostiche il dépeint bien les sensations