Je te croyais forte et bien plantée
A l’abri des hurlements des vents déchénés
accusant les intempéries sans bouger,
Pourquoi les as tu laissés t’éroder?
Toi qui étais si grande par le passé,
et sur qui on pouvait toujours se reposer,
Pourquoi as tu laissé le temps te désagréger?
Toi en qui je croyais pouvoir toujours compter,
Et dont j’ai toujours eu le coeur de défendre les intérets,
Pourquoi as tu décidé de t’écrouler?
Je te croyais forte et solide. Immuable.
non pas faite comme un chateau de sable.
Redresse toi fièrement, petite montagne
Ou tu finiras, un jour, par éclater.
Tu n’es pas un chateau de carte qui s’écroule.
N’oublie pas que c’est de l’amour, qui dans tes veines, coule.
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©Kévin Casimir
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Merci pour vos partages poétiques Kévin !
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Bien à vous,
Alain
Un texte riche et prometteur où l’allégorie est fort bienvenue.