Vice versa – Francine Rey-Terrin

Les lumières tamisées ocrent les murs vides, les volets à claire-voie laissent entrevoir les fleurs de marronniers. La cour déserte somnole aux doux rayons du soleil de septembre. La porte de la penderie largement ouverte, une douce odeur de lavande s’échappe du réduit. Sagement repassée, sur des cintres en bois, prête pour un défilée, toute … Lire plus