C’est après une rupture amoureuse qu’ il plongea dans un état dépressif.
Malgré tous ses efforts, il ne put reconquérir le coeur de la belle.
La vie avait alors perdu tout son sens. Il voulait mourir, et un suicide s’ imposait donc.
Mais avant cela, il voulait une dernière fois noyer son chagrin dans l’ alcool pour avoir cette illusion de goûter à la vie, d’en humer des arômes enivrants et puis surtout d’en voir de toutes les couleurs.
Il projeta alors d’ acheter quelques bouteilles d’ un von vin pour en finir avec ce fleuve, cette eau de vie devenue saumâtre.
Le jour venu des achats, il partît cette fin d’ après midi d’ hiver où la ville était déjà plongée dans l’obscurité et le froid, à pied, par un sentier accidenté et caillouteux. Il était déjà un peu gris, et s’ avançant dans le chemin, gauche et maladroit, titubant même, il ne pût éviter une pierre, perdît l’ équilibre et se fendît le crâne.
Lui qui rêvait à la gueule de bois, la mort précédait son suicide.
*L’ emploi de la troisième personne du singulier confirme qu’ il ne s’ agit pas d’ un récit autobiographique.
La Mort veille.
Dans le dessein de mettre fin à sa vie, le destin a mis fin à sa faim de mourir d’un festin…
Sans autre commentaire….Il est vingt heures et j’ai faim!!!!!!!!!!