A se pardonner il ne fut jamais très enclin
évitant soigneusement de saluer son chagrin
les clos lendemains où il croisait son chemin.
Des autres à lui le sauveur blanc immaculé
du lilas de sa mère qu’il ne put soigner
au pardon d’un départ qui le trouva prostré.
L’odeur d’une perte avant qu’elle ne survint
l’amenait à se protéger de certains desseins
et au banquet de l’amour il renonçait au festin.
Il est dit que ce qui n’est point cherché n’est trouvé
comme son regard prisonnier de souvenirs dilués
dans l’ombre des buissons aux épines acérées.
.
Qu’il est parfois difficile de trouver son chemin.
Nombre de Vues:
71 vues