Une voix est sortie brutalement de la nuit
En criant mon nom
Me sortant de cette douce rêverie
Avant que je ne puisse toucher le fond
La lampe est tombée. Dans la lumière blanchit
Je t’aperçois ; Tu me souris
Tes mains se fraient un chemin
Sur mon corps si froid soudain
Non ! Rien n’est vrai ! Je suis dans le brouillard
De ce nouveau cauchemar.
Je te rêve parfois si fort
Que je te sens près de moi encore
Toi qui n’es plus là
Dans mon amour, tu vis toujours
Je rêve de toi
Car j’ai peur d’oublier ton visage un jour.
The memory of your face
A voice is came out abruptly of the night
Screaming my name
Getting me out of this sweet reverie
Before I could not touch the bottom
The lamp is fall. In the light bleaches
I see you; you smile
Your hands find their way
On my body if sudden cold
No! Nothing is real! I’m in a fog
This is new nightmare.
I dream you sometimes so hard
That I feel you near me again
You who are no longer there
In my love, you still live
I dream of you
Because I am afraid to forget your face one day.
Il y a des êtres qui nous marquent et auxquels on s’attache, malgré leur départ : ils sont tellement vivants pour nous, que nous ne pouvons imaginer et admettre qu’ils ne sont plus là ! On essaie, comme on peut de se faire une raison et surtout de “raison garder.” Merci, chère amie, pour ce partage émouvant !