La grande chaleur
Frôle la peau,
Elle viole le seau,
D’eau, l’oiseau
Vole en cerceau.
La chaleur tue la fraîcheur
Et les langues ont hâte de s’arroser d’eau.
L’eau devient précieuse
Comme des lingots d’or,
Les gouttes d’eau se font rares,
Et l’Homme gaspille l’eau fondamentale.
Les réserves de pluies s’évaporent,
Et la sècheresse prend leur place.
Le climat bat ses ailes de nervosité,
Car la terre est en agonie.
La grande chaleur,
Épuise la force
Des corps en transe,
Ils cherchent un abri en défense
Contre la chaleur intense
La colombe reste perplexe,
Sa sueur se précipite,
Sur le corps brulé de chaleur, on perd la boussole.
© Fattoum Abidi
11.7.2017.
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