Alors que dehors tombe une pluie glacée d’automne
Et que le vent souffle et que les feuilles tourbillonnent,
Du temps a passé depuis que tu es parti.
Petit, ta venue était prévue ce mois-ci.
Mais voilà cela ne s’est pas fait. Terminé
Le très beau voyage que tu avais commencé
A l’abri, bien au chaud dans le ventre de Maman.
Tu t’en es allé et tu leur manques tellement…
Depuis peu, la pluie s’est arrêtée de tomber.
Les feuilles ont aussi cessé de tourbillonner.
Ce soir, je pense à toi. Tu n’es pas oublié.
Bébé, tu seras là dans mon cœur. A jamais !
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés
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C’est tellement joliment dit. Vos mots caressent mes maux. Merci
Bonjour Alain ! serait-il possible que vous puissiez enlever la phrase suivante : “Tu t’en es allé et tu leur manques tellement” par cette autre phrase : “Tu t’en es allé et oui, tu lui manques tellement…”. Merci beaucoup Alain. Bonne journée à vous.
Un bébé est, en effet, un ange toujours vivant : l’innocence est immortelle ! Merci, Odile, pour ce partage poétique extrêmement touchant !