Extraits n°4 de “À l’ambre de Sélénie” – Denis Trubert

Épistolière et écrivain

Un couvre-nuque lui recouvre

La gorge alors qu’un couvre-sein

Nous apprend que la chair se couvre.

Elle sait que le port des mouches

Est une clef que je découvre,

Comme sa robe qui nous touche

De la beauté qu’elle recouvre.

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Elles illuminent nos nuits de vices,

Par luxure ou par manque de veru.

Il faut le savoir mes ingénues

La beauté n’a point besoin d’artifices.

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Le sein blanc, la poitrine odorante et florale

Elle espère être la Reine de l’élégance

Se parfumant de bohème, au bois de santal

Et dont le souvenir sera cette flagrance.

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Chair toute rose

Bourgeon de chair

Rose de chair

Bourgeon de rose.

 

Le sein qu’il aime est le bourgeon de rose.

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Reine des sables mouvants et brûlants

Que ferais-je pour lire dans tes yeux ?

Rêve merveilleux d’un poète ambulant

Je songe à l’instant qui m’est si précieux.

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