Il ne faut pas deux oranges au poète
pour qu’il en presse un vers.
À droite et à gauche un ange,
rien n’arrête le flux de l’univers.
Avec des paires d’ailes géantes,
j’ai l’impression d’être puissant.
Rien ne m’appartient et il écrit que je suis insolent.
On reconnaît les corps à la naissance,
Je réponds que je serai défunt.
Quand le second prend parti et me défend,
car les morts ont, aussi une reconnaissance
Une mission qu’il faut mener à sa fin,
Avec l’innocence d’un enfant.
En cible des galaxies dans les confins.
Avec un oiseau, qui fait dix éléphants.
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Poème complexe, un poète, un ange et des morts bienveillants pour une résilience…
” Et ” ” Avec l’innocence d’un enfant.
En cible des galaxies dans les confins.
Avec un oiseau, qui fait dix éléphants.”
C’est ” Sidéraliste ” comme terminaison de ce poème…
Bien à vous.
PatKadéka—Patrice Rey