Avec une orange, j’ai fait un vers – Gojif Fouad

Il ne faut pas deux oranges au poète 

pour qu’il en presse un vers.

À droite et à gauche un ange, 

rien n’arrête le flux de l’univers.

Avec des paires d’ailes géantes, 

j’ai l’impression d’être puissant.

Rien ne m’appartient et il écrit que je suis insolent.

On reconnaît les corps à la naissance,

Je réponds que je serai défunt.

Quand le second prend parti et me défend,

  car les morts ont, aussi une reconnaissance

Une mission qu’il faut mener à sa fin,

Avec l’innocence d’un enfant.

En cible des galaxies dans les confins.

Avec un oiseau, qui fait dix éléphants.

Nombre de Vues:

3 vues
S'abonner
Me notifier pour :
guest

2 Commentaires
Commentaires en ligne
Voir tous les commentaires
Patrice Rey
Membre
21 avril 2025 13 h 21 min

Poème complexe, un poète, un ange et des morts bienveillants pour une résilience…

” Et ” ” Avec l’innocence d’un enfant.

En cible des galaxies dans les confins.

Avec un oiseau, qui fait dix éléphants.”

C’est ” Sidéraliste ” comme terminaison de ce poème…

Bien à vous.

PatKadéka—Patrice Rey