AU BAISER CLAIR POUR APPROCHE !
Soupir aux étoiles rangées
est rire en voile qui s’éclaire
à la lyre tant arrangée
que toile en tire sa lumière
Que ta misère en ses couleurs
libère en son cœur la brillance
où se déferre du malheur
la douleur terrée dans l’errance !
Dans l’obscur monde où tu te tais
abondent aux murs les crécelles
où cités dures en aparté
n’ont qu’allure qui les harcèle
Serre en ses rondes ton beau vol :
l’aronde qui boit en ses ailes
ton air sans abois où décolle
ton bon aloi qu’elle décèle
Celle qui jamais – de vertu –
n’a tramé quand elle se lève
de drame sévère qui tue
ton âme lavée dans le rêve
Des contrée hachées du lointain
vient sans attraits pour qui s’accroche
aux moches traits de tout mâtin
l’étrange où se cache un très proche !
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