Du plus profond de moi, jamais je n’aurais pensé
Qu’un beau matin de printemps, souffrant, tu deviendrais.
Nous avons vécu ensemble de longues années
Sans nous soucier du temps, du futur et de l’après.
Mais un lundi de juillet, on nous a séparés.
Tu étais au plus mal, il a fallu t’enlever.
Résignée, le coeur lourd, je me suis faite opérer.
C’est donc ton frère qui prendra la relève, désormais.
Toi mon rein gauche dont je garde à tout jamais
La cicatrice…
Bonjour,
Je m'appelle Odile et j'ai soixante-et-un ans. Je vis en Normandie, particulièrement dans le Calvados. Je suis mariée et j'ai deux grands enfants dont l'un m'a donné la joie d'être grand-mère de deux petits bonshommes : Ethan et Alexander.
J'ai commencé à écrire des poèmes à l'âge de seize ans et cela m'a beaucoup plu. Puis, petit à petit, j'ai continué à en faire. Etant sentimentale de nature, cela y a peut-être contribué. je ne sais pas. Mes sujets sont variés. Je les prends comme ils me viennent.
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un dialogue qui sort de l’ordinaire !
original !
Un rein de moins, c’est pas rien!
Merci, chère amie, pour ce partage aux belles images ! Un poème que j’aime !