À la terrasse des cafés,
On voit beaucoup de gens passer
Qui ont le tristesse affichée
Dans leur regard absent, figé.
À la terrasse devant mon verre,
J’essaie de percer les mystères
De ces occupants de la Terre,
Qui défilent au pas militaire.
À la terrasse où je souris,
À l’heure où d’autres ont des soucis,
Je me dis que leur triste vie
Est un labyrinthe sans sortie.
A. S.
Je suis né en 1956, et ai toujours eu le goût pour l’écriture.
Cependant je n’ai fait aucunes études , ni de lettres ou autre chose de bien gratifiant.
Je n’ai qu’un CAP de mécanique en poche et ma vie passée en usine , ma famille avec mes trois enfants, font que depuis ma retraite, j’ai repris du temps pour me consacrer aux mots.
On pourrait dire de moi que je suis plutôt un autodidacte.
Les quelques personnes à qui je fais lire mes textes me disent que j’ai une facilité d’écriture.
A ceux-là je leur réponds: ”ce n’est pas toujours aussi facile qu’il y paraît… ” Et pour l’orthographe, et bien je révise les règles…Il n’est jamais trop tard si l’on veut entreprendre quelque chose dans sa vie.
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erreur ” faute” nous reposent
Oui mon Ami ,à la terrasse regarder les passants s’interroger s’ils sont différents de nous, nous repose de nos maux et nous entrainent dans une certaine imagination, voilà où va la curiosité mais il en sera de même lorsque c’est vous qui serez le passant A TOUTE BLANCHE
Oui, il est bon de s’arrêter parfois
Et de prendre le temps d’observer.
Ce qui se passe autour de soi.. etc
Très beau ton texte, Alain.