Il est le temps des soignants,
Venus soigner les plaies de la terre.
De grandes saignées et tranchées,
Médecins devenus généraux et sergents militaires.
Dans le silence poignant des trachées,
Faudra-t-il charger le canon de chair ?
Oiseaux volant des eaux !
Nos regards au portrait craché,
Vont vers les êtres chers.
Dans les profondeurs de l’espoir.
Une lumière nous abrite.
Les rêves se font enfin vers.
L’amour et la paix nous invitent,
Dans cette humanité en crise humanitaire.
94 ‘ Avant de nous serrer les coudes nous nous serrions les mains.’ fou.
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