Le trône – Kamel usbek

Comme un jour qui s’efface, Laissant sa place à la nuit,Au son de la roue de l’ennui,La pensée s’enroule et s’entasse. Une langueur s’étendant à l’infini,Le cœur crucifié verdict du puni.Il est là, suspendu sans âme,Ses yeux pourris plein de larmes. Sans un mot, pleure l’humanité,Ces pions entre les doigts des rois,Coiffés de leur stupidité. Leur … Lire plus