Sonnet
L’ombre et la lueur.
L’Ombre m’enveloppe, dans son grand manteau noir,
Elle me laisse voir, un flou béant de lumière,
Quelques couleurs vives, ça et là ; Maudite sorcière !
Mais j’ai mes souvenirs, qui retardent les soirs…
Je lui laisse les lies, pour moi, ceux de l’espoir,
La garce aime ça ; Mes pensées, cris de colères…
Cela l’occupe si bien, que ma vigueur se libère,
J’entrevois les lueurs, l’illusoire, peut-voir…
Basse vision floutée, mais reste net, le tour,
Vue Périphérique, je verrais en secours,
L’étincelle de vie, comme caricature…
Peu importe mes yeux, Il reste des lueurs,
La ronde s’efface, mais elle est aussi dure,
Pour tous les biens voyants, et ceux qui ont du cœur.
– © – 2018 – YJAL –
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