Devant les grandes cheminées,
Les marins été réchauffés à la lumière du cœur.
Aujourd’hui, les phares ne sont plus habités.
Hanté, le capitaine chemine avec la peur.
Des humains de façade culminent et ravalent la fumée.
Ils font face à la vie, quelle fureur !
Cet amour est mon repère.
Je me sens tellement isolé,
Que personne ne voit que je pleure.
Alors, je parle à l’étoile polaire.
Je ne peux que la voir, noir comme la mer,
L’espace est un miroir, le ciel avec une lumière.
Lointaine, es-tu une solaire ?
Tu me donnes des ailes dans les airs.
Si tu t’en vas, je me perds !
Tu me viens avec le soir, à mes yeux, tu es la première.
Pour te contempler, je dois m’asseoir au beau milieu de mon désert.
92 Les hommes phare renferment une lumière fou.
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