Un filet de sang sur tes lèvres, de toi praticienne
Nous avons appris à être des poètes au firmament.
Écoute le vent, divinité terrible, prince du tourment
Qui trahit son génie pour de jeunes péripatéticiennes!
Tout se consume lentement dans ce pâle dénouement
Monstre à l’orgueil brutal, je nais de ma déchéance,
Mais mon corps vieillissant veillé par un amant
Pleure de légendes noires et d’ombres sans importance!
J’ai vu au fond du trou, la rage de mon infirmité
Tout se consume lentement, le temps rend suspicieux
Qu’un troupeau de hyènes en rut se plait à visiter.
Voici le feu qui me titille sournois et malicieux!
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Tellement vrai
que dire de plus..
Bravo
Anne