Rêve de minuit
La tête baignant dans le doux cresson,
Face au ciel, il laissait son visage
Se dessiner par l’imagination,
De ces innombrables mirages.
Seul à contempler les aurores qui,
Dans une abîme pleine de charme.
La lueur safrané en accalmie
D’une pluie si fine, dont les larmes,
En éclat formaient, des perles divines.
Les yeux ouverts, au reflet de la nuit,
Leur nuance scintillait tout là haut
Aux milles rêves, une poésie
Des cieux s’élève, en précieux cadeaux.
Couvert, par un millier de sentiments.
Non loin des peurs, étendu calmement.
Il sait qu’à l’aube, une fois surgit
Aura disparu toute la magie.
Aldrick.M
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