Sa flamme
Toi tu t’entêtes
Tu perds la tête
Toi t’es pas nette
Ta salopette
Revient en tête via tes roquettes
Elle meurt , te traîte
D’un feu inerte
Quand toi tu guettes
Une brouette
Une sornette
Un cœur alerte
Une bombe choisie par une souris
Par un messie
Oh toi, la vie!
Tu leur écris
De ton mépris
Tes bottes de pluie
Crottes sur Paris
Et puis ta vie
Fût un récit
Monopoly
Et jalousies
Et meurt ce feu par un adieu
Et te revient mais lui, heureux..
Te souviens-tu de lui soucieux ?
Un cœur envieux,
Une âme au feu
Il pleure, il vole
Une carotte
Trois petites notes qui te provoquent
Mais quel est dont cet artifice ?
Aberration, toi la malice !
Et de ton nom, tu vibres et lisses
Une rancoeur,
Une saveur
De ce rockeur, naît
la vapeur
Et cette flamme
Qui les rend bêtes
Pour lui une femme
Une soubrette
Ne gêne ni corps
Ni leur Gillette
Ne se retrouvent
Sous toi, sa couette
Ton cœur accord
Est son record
Mais femme ici, rejoint ta flamme
D’une saveur, une douceur
De toi, menteur
L’enjoliveur
De mes sourires ,
Moi, la lueur..
J’ai voulu par ce poème évoquer comme beaucoup la flamme olympique à laquelle j’ai fini par assimiler cette flamme à la femme qui elle aussi peut rendre un homme bête ou même “gaga” face à un artifice : une femme, une flamme.
La lueur du soir témoigne d’une belle plume enflammée !
Un texte pour toute femme qui se reconnaîtra. La femme est le feu, parfois une bombe, une lumière.
La femme nourrit l’homme de ses astres, de son cœur et de ses frasques. A bon entendeur ! Bonne nuit les amis 🥰 🌸