Les uns ont tous les droits
Les autres n’en ont qu’un
Les puissants font la loi
Qu’ils disent universelle
Les misérables la voient
Comme instrument virtuel
Eux, qui n’ont qu’un seul droit
De ne pas en avoir
Ils sont comme l’agneau
Poussé à l’abattoir
Sans pouvoir dire un mot
Il va vers le mouroir
Quelle justice injuste
Et quel monde exécrable
Où le plus fort exulte
De façon détestable
Interprétant les textes
Qu’il a lui-même pondus
Inventant des prétextes
Que personne n’aurait crus
B.Boumedien, le 9 /12/2012.
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Triste réalité Brahim ! Qui n’a pas de fin. Merci pour ces touchantes lignes.