Commentaire sur la disponibilité de l’hydrogène – Rémi Guillet

Puisqu’Alain a apprécié mon commentaire sur la combustion de l’hydrogène je lui propose de penser à l’autre ou plutôt aux autres, car la disponibilité de l’hydrogène naturel change la donne quant à son intérêt face à l’électricité notamment pour les voitures particulières et autres VL…

 

Ce n’est que très récemment qu’on a découvert qu’il y avait de l’hydrogène naturel, ou blanc dit-on, dans le sous-sol (environ 5 à 6 ans, ce qui a valu la vie à des puisatiers africains qui ne se méfiaient pas. Maintenant on en cherche partout avec un certain succès, souvent piégé dans l’eau !).

Beaucoup plus coûteux est l’hydrogène manufacturé quelle qu’en soit l’origine et selon cas on le dit vert, rose, gris….).
Dans tous les cas c’est un vrai combustible, sans carbone, et qui forme de l’eau en brûlant produisant beaucoup plus d’énergie par kg brûlé que les hydrocarbures traditionnels.
Pour autant, il ne faut pas ici parler de moteur à eau, ce vieux rêve encore repris dans les années 60 qui tentait de faire croire que l’eau, par magie, pouvait se transformer en carburant !

Quant à moi, je ne fais que préconiser ici le recyclage de l’eau issue de la combustion pour décrire un nouveau cycle très performant au plan énergétique et écologique que j’ai d’ailleurs inventé en travaillant sur la combustion des méthane et autres gaz naturels dans les années 70.

En effet, ce cycle avec recyclage de l’eau est particulièrement pertinent quand le combustible ou carburant est l’hydrogène (ce qui a été bien compris par certains motoristes comme Toyota qui va jusqu’à la suppression du chemisage en charge de refroidir le bloc moteur via le circuit externe bien connu de la plupart des motoristes – sauf feu Panhard, Citroën avec mes bien aimées 2CV, GS qui pratiquaient avec bonheur la motorisation thermique refroidie par air … – et bien d’autres, désormais nombreux à repenser les moteurs thermiques avec l’arrivée de l’hydrogène carburant !).
Dans l’invention que je revendique, à souligner aussi que pas besoin d’eau neuve ni besoin de moyen stockage d’eau nécessaire ! (ce qui est très important en cas de véhicules légers, d’aéronefs etc.)
Pour plus d’infos, ouvrir le lien qui mène au texte “Combustion humide de l’hydrogène” qu’a bien voulu publier “Plume de poète” (merci à nouveau à Alain Bonati !)
 

Pardon d’avoir proposé ce texte sur un site plutôt littéraire, mais écrire n’interdit pas de conduire et même de posséder une voiture ! (Ce qui est mon cas…)”

Merci à Alain pour avoir publié ce message qui me semble utile pour favoriser les meilleurs choix industriels notamment dans le domaine de l’automobile !
Rémi Guillet

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Rémi Guillet

Rémi Guillet (209)

Ayant dépassé 80 ans, Rémi Guillet voit dans son rétroviseur 40 années consacrées à la recherche de chemins pour améliorer l’efficacité énergétique et écologique de la combustion des énergies fossiles et a souvent publié les résultats de ses travaux, travaux jamais véritablement abandonnés puisque l’hydrogène a récemment pris le relais dans ses préoccupations consacrées à ce thème.

Sa retraite venue au début des années 2000, il entreprend également des travaux universitaires « pour plus d’équité dans le partage des richesses produites par l’économie libérale ».

Dans le même temps, il consacre une part de ses activités à diverses formes de bénévolat, en associations ou en EHPAD et développe à cette occasion une méthode en aide à l’apprentissage de la lecture de la langue française.

En 2015, il écrit ses premiers ouvrages « littéraires » et son premier poème intitulé « Merci à nos sens » … (Cf. Rémi Guillet / Ed. Mers du Sud).
Voir (/ NET) "Rémi Guillet bibliographie" pour accéder à l'ensemble de ses publications.

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