Le chat et la souris
Un chat plein de morgue veillait une souris
Il ronronnait de plaisir prêt à donner l’assaut.
Une enfant toute émue délaissait son cerceau.
L’art de la guerre dit un éléphant est tromperie
Le plus fort n’est pas celui qui de l’autre se nourrit
Il suffit d’être serein comme le chant du ruisseau,
Guettez dans l’ombre, du dormeur le soubresaut
Il perd son odorat, dans la quête d’une songerie!
la vanité, voila mon amie, notre pire capital!
Pour avoir vécu, dans un palais monumental
Je puis certifier que l’ennemi perdra son pari!
Tous les maux viennent de notre esprit vulnérable,
Apprenez à lutter, à défier la pensée du connétable
Vous connaitrez alors la paix, et serez fort marri!
©G fiambon
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Une bien belle fable. Bravo et merci…