Comme j’aime, être dans tes draps plein de silence,
Porter un regard neuf, chaque jour, sur l’existence.
Je crois que nous nous sommes longtemps attendu
Je t’aime sans retenu, minute détachée du superflu.
Laissons-les aller ces mauvais rêves, ces peurs vives.
Elles sont des solitudes froides et amères à la dérive.
Ancré sous ce ciel immense qui sourit de nos aspirations,
Nous marchons toujours et nous y allons par passions.
La timidité est belle, charmant sourire, les yeux italiques,
Mais elle boue en toi, cette envie, je t’aime sans principes.
Parfois nous cherchons des réponses qui n’existent pas,
Pas vraiment. L’envie d’aimer, je crois… alors n’hésite pas.
Chaque jour qui s’écrit en moi est un bon jour, depuis toi.
Je t’ai fait mal, nos amours sont des désirs, aussi parfois.
Je veux te caresser, t’entendre battre, tout contre ma vie,
Parce que là ! je t’aime infinie… je t’aime mais ce n’est qu’écrit.
Et… j’ai besoin de ta peau, ta chaleur ma poésie, mon “âm…mie”,
Ma destinée c’est dans ton ventre parce que le rêve nous est permis.
Olivier Gatin