Envoûtante comme l’alcool
Son corps ondule dans sa robe
Quand ses pieds glissent sur le sol
Le grand sablier se dérobe
Fasciné par son mouvement
Qui dans la lumière mouvante
Savoure sous le vent soufflant
Ma chère âme souvent souffrante
Puis le venin d’amour m’obsède
Perçant, fallacieux et tiède
Acide comme le cassis
Et la tout près de mon repère
Soudain sillonne la vipère
Délicieuses sont ses iris
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Très beau poème merci.
Un très joli texte ! Ne nous privez pas de votre talent.. :)
très bon texte!! continuez cette belle langue poétique
amitiés
Merci beaucoup c’est gentil !
Joli poème plein de jolis sons et de musicalité…
Le poème apparaît en deux fois j’ai dû faire une mauvaise manipulation, il se termine après le premier « iris »