Les cris n’ y suffiraient pas
L’ écrit n’ y suffira jamais
pour déposer les mots justes et
coucher toute l’ émotion
d’ un Mozart en transe, peut être,
sur une composition au son de la
clarinette qui vient comme vous
caresser l’oreille d’ un corps déjà fébrile
par tant de notes, de sonorités pleines de
force et pourtant si fragiles.
Il est mort le maestro mais j’ entends encore
ses notes comme une voix harmonieuse
d’ outre tombe.
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Quand Mozart est là,
ne pas en faire tout un fromage , sourire
Si Mozart t’étais comté, le Lama Deus en ferait tout un fromage !
le 31 octobre, j’ai mis sur site une pensée de M. d’Ormesson, avec en supplément sa citation arrangée à ma sauce
je trouve que ceci fera l’affaire comme commentaire sur ton écrit…