Ma nouvelle passion : dépenser pour elles.
Pour les dames, les demoiselles, les filles que je ramène.
Elles demandent et j’achète. N’importe quoi, n’importe où.
Seront-elles reconnaissantes ? Ou pas, quelle importance ?
Elles veulent et je m’en fous, de vous, des sous.
Et je suis fou, j’en deviens saoul.
Mais pas toujours.
Pour vos pieds ou vos pierres, vos folies, m’abuser
N’est pas pour me déplaire mais gage à m’amuser
Vous riez quand je joue,
Mon délice dans votre candeur.
Du haut de mon pouf doré, je compte passer l’écu, à la fois fuyants et fébriles.
Je m’enivre de votre subit dédain qui ne sonne qu’en de modiques et dramatiques suppliques.
Je me nourris de vos désirs indus lorsque vous convoitez ces pimpantes paillettes de pacotille.
Alors vous salivez, vous demandez, vous exigez, vous injuriez, vous disjonctez, vous suppliez… Ahahahahah !
Mais je m’égare ma douce chose, dites-moi encore, que voulez-vous ?
Merci pour ce texte, votre plaisir d’offrir aux dames, gage à vous amuser, mais l’amour n’est pas de la pacotille, choisissez celle qui ne demande que des roses ; Bonne journée.