L’instant se meurt
Œil mortel jusqu’au cœur
C’est la fin du regard anodin
Car l’œil se meurt au loin
Humide et mine basse
Paupières flasques
Dans un couloir invisible
L’écho d’un son risible
Le regard se meurt
Flux de couleurs
Explosion d’émotions
Nous étions si bon
Mais noyé dans son sang
Eprit de liberté pourtant
Au sommet de la montagne d’or
Notre regard est mort
Qu’il repose en paix
Lui qui se battait pour nos ailes
Notre délivrance,
Par Les mots et la distance
Les armes sont épuisées,
Et nous sommes lassés
Du périple perpétuel
D’un amour caché éternel
Notre regard si fort
Est pour toujours et à jamais mort,
C’est la fin des couleurs
La fin du beau temps et du bonheur
Il n’y aura plus de clichés
Plus de regard à raisonner
C’est la mort d’une île
Les pleurs d’une ville.
Bonjour oscar c’est un poème triste émouvant au vent d’une île soufflée dans le temps d”une larme quand se ferme un regard elle s’éteint la vie dans le hangar de la mort
Bon et doux weekend amitiés poétiques