Que de bien trop floues souvenirs, de ce temps là.
Où tu n’avais pas pensé, être encore là.
De tout ce que tu aurais pu imaginer.
Jamais tu n’aurais songé, pouvoir te damner.
Ainsi vendre ton âme, à une illusion.
Croire, que tu contrôles, ta compulsion.
Longtemps, tu as bien cru, conserver la maîtrise.
De ce fameux ami, qui tramait sa traîtrise.
Tu te rappelles, les toutes premières années.
Où rien, tu ne pouvais faire, sans l’emmener.
Bien longtemps, il fut ton compagnon de soirée.
Qui te permettait, de t’amuser, délirer.
Le temps a fini par passer bien vite
Tu ne comprends pas, tout ce monde qui t’évite
Il te semble, que tu sois bien resté le même
Et toi seul, n’a pas perçu ce profond abîme…
Où très méticuleusement, tu t’es jeté
Sans que personne, ne t’y ai précipité
Chaque jour passé, comme une lente agonie
Maintenant de toi, on rit avec ironie.
Tous tes fabuleux souvenirs,ont laissé place
A ta mélancolie,qui jamais ne se lasse
Te torture,toujours un peu plus,chaque instant
Où le présent,ne fait plus parti,de ton temps.
Dans ta vie,plus la moindre trace de bonheur
Juste un goût amer et sans aucune saveur
Qui te confronte,à ta sinistre déchéance
Là,où t’a doucement conduit,ta dépendance.
Au crépuscule de ta sinistre existence
Tu attends sereinement,la triste sentence
Celle que tu perçois,comme une délivrance
Comme ta somptueuse,source de jouvence.