Elle n’était pas comme les autres
elle rêvait d’un empyrée
ou son cœur ne serait pas entouré de brumes et de barbelés.
Elle était de celles qui restent en pénitence
de celles, qui gardent la faim aux creux de leurs cœurs
Elle était de celles qui attendent en corps.
Des sentiments de mal-être s’étaient encrés dans sa vie
dans des facettes si obscures
que l’espérance était tombée en désuétude.
Parfois, des croyances pointaient au bout du chemin,
elle aimait prolonger cet état de devenir
qui ne durerait pas
car le destin, cet arracheur d’espoir
souvent, faisait demi-tour pour la torturer.
L’espoir, cette fleur de chagrin
qui s’ouvre au grès du vent et du destin.
Aujourd’hui et demain
ne sont pas forcement sur la même route…
mais hier et aujourd’hui
se croisent souvent sur des sentiers tortueux.
Parce qu’il n’y a pas d’autre choix
parce-qu’il faut tomber au plus bas pour pouvoir se relever.
Il ne faut jamais perdre l’espoir, sinon tout est fini.
Attendez,comme le destin, il repointera son nez
capturez-le et offrez lui votre volonté..
On n’est jamais plus orphelin, que quand on a perdu l’espoir.
Il reviendra…Je vais attendre.
.
Anne Cailloux
Un beau texte , l’espoir est ce qui nous maintient debout, de croire encore à des jours meilleurs, est-ce une illusion ?
Bonjour, garde espoir, ”il reviendra…je vais l’attendre.” Preuve qu’on y croit qu’on ne le perd pas. J’ai écrit sur l’espoir moi aussi, je finissais en ces mots : ” Dans la pénombre, il est lumière.” Il est juste en nous….merci de ce partage.
Beau texte Anne, bravo.
Un très beau travail, Anne, simple et efficace qui en dit beaucoup en peu de mots et qui redonne sa place à l’espoir. Ce beau mot qui fait tant de maux… Amicalement.
Superbe et touchant texte Anne merci ravie de vous lire de nouveau
Belle soirée
Bises
Fattoum.
Magnifiquement composé. Très épuré.
Profondeur d âme et émotions nos frôlent sentiment
Merci à vous Anne
Ol