Le ciel fâché tournoyait au dessus des tours noyées de vent,
Il accaparait mon esprit torturé, de ses lumières tranchantes,
Comme devant un feu, devant l’âtre mes pensées s’envolaient,
Ridé par la tourmente, j’espérais une vie ni triste ni gaie,
Juste sage et docile, où plus aucun combat ne comptait,
Un ermite accroché à la montagne, devant le bleu de l’océan,
Une coquille sur le dos, comme un escargot né du vent.
Stephane
Nombre de Vues:
20 vues
Splendide!
Bonjour Simplement beau cette prose bises
Bravo Stéphane très beau et doux texte j’ai adoré ma lecture
Agréable journée
mes amitiés
Fattoum.