Dans l’antre de ma nuit, un déchirant appel
Que signifie ceci ? Je pressens que tu souffres
Tu es si loin, et ne peux, qu’au travers le ciel
D’aider par ma pensée, à sortir de ton gouffre
Cette perle qui roule, sur le flanc de “ta”joue
Que le creux de ma main recueille avec tendresse
Cette larme à jamais, signifiant ta détresse
Quoi ? Toujours ce destin fou, qui se joue de nous.
Cette perle qui roule, sur le flanc de “ma” joue
Que le creux de ma main, recueille avec tendresse
Cette larme à jamais, signifiant “ma” détresse
Se mêle à la tienne, pour se faire Bijou.
Orphée tout comme toi, nous cherchons Eurydice
Notre descente aux enfers, va t’elle voir sa fin ?
Dans quel jardin sacré, ou vers quels délices
Mèneras-tu nos pas ? Trucidant nos chagrins.
Et ce bijou d’amour, dans le creux de ma main
Serait-il nos deux âmes à jamais confondues ?
Mais, voilà que se lève à nouveau le matin
Mon rêve s’arrête et ce petit impromptu
Kannic
Tu as parfaitement raison, puisque le texte o’origine, était ainsi, pour une lecture plus facile
Merci de tes commentaires.
assez délicieux du fait de ces césures
je l’ai apprécié et j’en suis ravi
ce, je pense qu’il serait encore pluis prenant
si composé de 2strophes (ou +), du fait
du refrain
(Cette perle qui roule, sur le flanc de « ta »joue
Que le creux de ma main recueille avec tendresse)
pour la lecture de celui qui se ravt de ton phrasé
sans quoi, MOi, j’ai dû me reprendre, pensant être revenu en arrière
il me semble qu’une lecture doit s’acter en une fois pour y revenir ensuite
ce n’est que mon avis.
et tu es une des rares à saisir l’importance de la césure interrogative
merci