La Poésie, moins éclairante que la prose ? (2) – par Frédéric Matteo

La semaine dernière, dans l’article précédent, après avoir raillé – non sans franche gaîté, ni haute pertinence – deux déclarations représentatives des raisons pour lesquelles les philosophes des Lumières crurent bon de plonger l’art poétique à jamais dans un honteux discrédit, j’avais promis de satisfaire ceux qui voulaient être payés de raisons plus sérieuses (à … Lire plus