Ils étaient beaux, les jours et les nuits passaient vite,
Notre maison était bien éclairée partout.
Bien-être, fierté et histoire bien décrite
Et je me souviens de presque tout, malgré tout.
Le temps cruel frappe à une porte déserte
Quittée de force par ses souvenirs fragrants
Jetant la peine d’amour sur nos cœurs inertes
D’un beau rêve oublié par nos regards errants.
Temps glacial gelant les murs et les mûriers
Couvrant notre plaisir de ses dures souffrances,
Moments d’abîme et de nuances variées
Enterrant nos proches dans l’ennui du silence.
De retour un jour dans notre ancienne maison,
Je frappe à la porte, personne ne répond,
Les larmes ont séché de mes belles saisons
Et mon cœur a été poignardé tout le long.
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on laisse toujours un peu de son âme entre les murs où l’on vit
Saber Nostalgie d’un passé qui restera gravé! bon dimanche! Colette
Beau poème nostalgique Saber