Les pots de larmes débordent la borne
Les malades pleurent la souffrance farouche,
Les enfants de guerres leurs larmes coulent,
Les bébés délaissés, leurs yeux sont tristes.
Les enfants des pays occupés perdent,
Leurs propres identités, ils dépendent,
De l’odre arbitraire, la vie est amère,
Les nids sont dévastés par les guerres.
Les mers sont séchées par l’industrie intruse,
Les neiges se diluent à cause du climat malade,
L’Homme fait son autodestruction foetale,
La raison perd ses repères non nocifs.
Les pots de larmes débordent la borne
La tristesse crie alerte à la tempête,
Le vent siffle fort, il marque,
Sa nervosité contre une humanité indifférente.
Le gel de la pensée humaine attend,
Une réaction, une objection au temps
Dans les trames universelles au soir,
Evitons le déluge et choisissons l’espoir.
© Fattoum Abidi
23.9.2017.
WOW c’est d’une très belle puissance!
saisissant!
bravo
bonne semaine
MM