Le soleil s’était levé
de l’horizon des sommets montagneux.
Le vent matinal, me rêveiller et m’inviter
à un espace ouvert aux expériences vécues.
J’y cueillerai des fleurs souveraines
Comme chaque fois
qu’elles auront été de mon âge passé.
C’est un parc,
qui est au milieu d’une zone industrielle.
Il y a une statue baroque devant sa porte
Et dans ce parc :
des belles plantes, des arbres d’ornements,
des arbrisseaux et mon arbre de vie en rose.
Chaque jour, quand le soir tombe sur la rivière,
où se reflète dans mon coeur.
Les fleurs me sont présentées par un sculpteur
qui avait créé la statue.
Le portrait en buste de cet artiste avait été installé
au mur de la fontaine.
Un rire jaune de deux lèvres, au visage exsangue.
Donc, il n’y avait pas d’un espace vert ici!
Mais, quand je vais dans la forêt, j’imagine,
avec les yeux sur les abeilles ouvrières
que mes images aux vestiges soient hors service.
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©Abdullah Karabug