Dans un décolleté abyssal elle serpente dans des futurs de va et vient incessant laissant ses phéromones hydrater les trottoirs
Suivant les pointillés l’objet du délit suit cette femelle qui transpire le stupre. Le mâle et ses appétences se perfusent au rythme de ses instincts.
Déjà, des rides se sont formées au dessus de sa moustache Ses narines sont en éruptions traquant ses tentations offertes.
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Elle le zappe dans un marivaudage insolant commandant un mojito dans une voix érotique faisant bégayer le serveur.
Ses molécules sont aphrodisiaques sa bouche pourprée s’approche son souffle sur votre cou est un sortilège. Vous êtes dès ce temps dans ses filets.
Sa soif se transfuse, elle se vêt de volupté bousculant votre certitude. s’offrant dans des cauchemars qui portent son nom.
L‘amour est une plaie qui fait mal sans que…on le ressente physiquement… Inexplicable Et pourtant..
©Anne Cailloux |
Une belle poésie charmante en douceur de sensualité bon et doux weekend bises
Merci à vous Béatrice, j’essais..
Anne
Une invitation charmante à un voyage des plus charmeuses. Merci pour la sensible sensualité de vos mots. Amicalement…
Merci à vous Christian j’essais, comme d’habitude
Anne