Je fouis dans le silence et j’implore la nuit
J’explore sans répit les regrets de l’enfance
comme elle est belle et douce la mélancolie
Quand une poésie en surgit de l’errance
Peu importe le sang qui jaillit de mes veines,
Les douleurs, les peines, la fêlure du temps,
Catharsis des murmures où mon cœur se draine
Ils tisseront la toile d’alexandrins vibrants
Que leur vive lumière asservissent les ombres
De mon âme, bercée par leur rythme apaisant
Créant comme une faille dans le mur des jours sombres
Au cendres dispersées sur les replis du vent
A cette humeur inquiètes des jours qui s’enfuient
J’y oppose le vers, pour avoir un répit.
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Joli poème. Merci du partage