Il s’arrête, puis il danse
Sous le rythme d’une musique douce et affectueuse
Une activité culturelle qui donne le ton au silence
Et qui rend hommage à sa femme harmonieuse
De quoi-il s’agit de danser ?
La jeune femme est morte, le dieu a voulu son décès
La tête ailleurs, la souffrance dedans et les pieds gelés
Oh sa femme harmonieuse ! Donne-lui la patience de t’aimer
Il pleure, il pleure comme un chérubin qui a perdu la route vers sa famille
La route est noir, obscure et sombre, la terre aride
Et il traverse…
Ce pont noircisse semblable qu’une andouille
Un féru fou qui voit le danger, c’est une aiguille !
Il traverse vers la forêt des mille et une nuits
Ses mots ne demandent que des vœux, je veux cette fille
Pour renouveler un nouvel amour semblable que « Roméo et Juliette »
Et Il oublie, cette polysémie de mots qui la dédie
Pour annoncer son premier amour à cette fillette