Je suis sans désir sur la terre,
ma chair et mon cœur sont consumés
dans un brasier d’amour pour toi
je m’étire comme la lave du volcan
en éruption tout le long du chemin
détruisant sur mon passage
les souvenirs qui me restaient de toi
je m’éloigne de toi et je périrai
dans le feu de l’amour
que j’avais pour toi
tu ne pourras pas me sauver
des flammes de l’enfer
toute l’eau de la terre
ne suffirait pas pour éteindre
le feu éternel
je suis damné à tout jamais
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Un feu.. brûle
Un feu…crépite.
Quel feu…
Voulez-vous vraiment qu’il vous consume…
Passion d’amour…
Amour de passion…
Un feu…brûle
Un feu…crépite
Consume…se consume…
Il est ardent, ce feu, Fernand.