La Terre se meurt t elle au point d’ enterrer
nos espoirs de la sauver ? L’ écorce de notre
raison, le rêve, qui fait aussi de nous des hommes,
serait elle définitivement écorchée ? Ou prendrait on
suffisamment de hauteur depuis nos canapés pour sauver
encore la canopée également ? Nos esprits peut être trop souvent
en friches, du fait d’ ignorance, inexorablement, la Forêt semble devoir
s’ étioler quand dans des réunions au sommet, on trinque à l’ eau digeste et
pure encore, au champagne aussi. Tchin, tchin, elle était pourtant belle notre
planète…Un ciel azur, de l’ eau bleu, une forêt verte, et puis…et puis nous du haut
de nos rêves de grandeur pour mettre fin à ce songe évanescent d’ une nature qui prend
l’ eau, le feu. Alors, les réunions au sommet d’ hier seront elles les funérailles internationales
de demain de notre planète faute d’ avoir pris réellement le problème par la racine et de n’ avoir
pas su brasser convenablement l’ air ?