Vous qui passez sans me voir
avec vos airs hautains …
vous qui jugez selon les abois
sans savoir qui je suis….
au passé aussi riche plein de lumières
qui viendra encore me faire rire
de mes amours nostalgiques partis en poussière
Qui me dira des mots d’amour qui font si mal
comme un couteau en plein cœur
qui me voudra avec mes délires et le cœur en larmes
qui m’aimera quand je ne serais plus que la moitie de moi
Vous qui passez sans me voir…
avec vos airs hautains
vous qui jugez selon les abois…
sans savoir qui je suis
au passé aussi riche plein de lumières
Qui saura me redonner le sourire
enfoui au plus profond de la mémoire
depuis ce jour fatidique d’épilepsie
avant que la grande dame
se décide à venir me chercher
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