Dichotomies assumées… Au bout du bout du compte Je préfère, pour moi et pour la Terre La réflexion A l’ostentation La tolérance A la croyance Le jour A la nuit Le partage entre tous A la richesse de quelques-uns L’amitié, plus ouverte, qui rapproche A l’amour d’un prochain, … Lire plus
Ignoble… Ignard Cela tombait bien, pour faire cela, rien à apprendre, rien de bien malin à savoir ! Chez les zoulous, on eut vite fait de le surnommer « planteur de bambous », point barre… Il ferait des bébés A gauche à droite sans davantage se soucier Puis toujours repartirait sans assumer une once de … Lire plus
Être ou ne pas être… Combien Shakespeare fut-il inspiré Par la question soulevée… Désormais, elle concerne l’humanité ! To be or not to be, a-t-il écrit ! Être docile ou révolté… Mais es-tu armé pour te prononcer ? Tout est prêt pour t’anesthésier À peine nouveau-né Toi qui ne demandes qu’à … Lire plus
Étourderie À grand fracas ou à bas-bruit Les Dieux lancent dés et paris Sur des mortels toujours inquiets, Fiévreux, ils soufflent sur les dés Qui roulent en bousculant les vies. Chaque matin, je sors du lit Au son de talons compensés À sept heures six, c’est précis Comme un réveil ! Ptit déjeuner… Puis c’est … Lire plus
Petite fable affable Un vieux rat, que l’on disait avideTout autant, hélas, qu’avaricieuxMaudissait les dieux et les CieuxD’avoir créé tant d’êtres à la bourse vide.Il proclamait que « Donner » était mortEt « Prêter », son cousin, des plus malades ;Et pourtant, chaque jour, qu’il se baladeOu soit affairé, un Sans- RemordsVenait pour quêter, … Lire plus
https://septiemeartetdemi.com/2018/03/24/poeme-18-11-men-tords/ Quelques mots offerts, ne m’ont souffert Qu’au courant de l’été, que le temps d’y penser En secret exprimant, tant de ses doutes pourtant Médire m’émeut, autant l’aveu Méditant soucieux, comment faire au mieux ? Mais distants tous les cieux, me dédaigne tout leur bleu La berge, m’immerge J’aimerais être plus fort, lui dire « allez » … Lire plus
