Seule
Il y a comme un puits sans fond
Qui creuse des sillons
Jusqu’à atteindre mes plus belles pulsions
Voir, mes pulsations…
De cœur….étourdi
Par une absence qui m’assourdis
Par sa présence infini
De solitude qui s’écrie !
J’ai mal ou personne ne voit
Les fissures qui s’emploient
A ébranler tout ce moi
Édifier de tant de carquois …
Ça déchire dedans,
Ça s’enfonce violemment
Et ça s’insinue tellement
Que j’ai froid…tant et tant…
Ma raison cogne des murs
Que rien ne défigure
Alors que mon âme s’abîme sans mesure
Dans mes ratures
Saigner, couler,
Déraisonner …
Pourvu que ça rime un peu avec…oublier !!!
C.
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