Parler de liberté ou de démocratie
Que nous soyons ailleurs, que nous soyons ici
C’est saluer nos lions qui se sont déployés
Pour que ce polygone soit enfin étoilé
L’été soixante-deux, l’Algérie renaissait
Elle n’a pas oublié ses morts et ses blessés
L’histoire retiendra qu’elle a bien fait face
Au joug d’un oppresseur odieux et tenace
Il a fallu sept ans de lutte courageuse
Et tout le sang versé en période orageuse
Pour arriver enfin à l’immense succès
L’affreuse tyrannie a été évincée
Grâce aux bras vigoureux qui l’ont sortie du puits
Le soleil revenu, sur son ensemble luit
Son peuple et son armée en sont les maîtres d’œuvre
Ils sont venus à bout de l’hideuse pieuvre
Nos lions étaient armés de courage et d’ardeur
Leur visage bronzé ruisselait de sueur
Ils allaient au combat, fermes et décidés
Et leurs armes chargées, crépitaient sans céder
Aujourd’hui le pays qui a fait de grands pas
Continue son progrès, ne reculera pas
Malgré l’adversité, le projet prometteur
Mènera nos enfants vers un demain meilleur.

“Parler de liberté ou de démocratie
Que nous soyons ailleurs, que nous soyons ici
C’est saluer nos lions qui se sont déployés
Pour que… soit enfin…”
Hommage, hommage, hommage
Sur des milliers de pages
De vers de poésie
…Pour ces lions…
…Pour ces bras vigoureux…
…Pour tous ces morts et ces blessés…
…Pour tous ces sauveteurs…
…Pour tous ces “maîtres d’œuvre”
…Pour tous ces combattants…
Hommage, hommage, hommage
Sur des milliers de pages
De vers de poésie…
Merci Brahim pour ce texte poétique, d’honneur et d’hommage à sa terre, et cette noblesse de cœur.
LMA.
Qu’espérer de plus que ton dernier vers : Mènera nos enfants vers un demain meilleur
Dans mon hexagone et dans ton polygone !.
Le soleil revenu, sur son ensemble luit
Son peuple et son armée en sont les maîtres d’œuvre
Ils sont venus à bout de l’hideuse pieuvre
Nos lions étaient armés de courage et d’ardeur
Leur visage bronzé ruisselait de sueur
Ils allaient au combat, fermes et décidés
Et leurs armes chargées, crépitaient sans céder