Quand je sens sa présence,
J’oublie vite ces longues absences,
Que j’ai vécu sans elle,
Ah! si j’avais des ailes!
Je parcourrai les airs,
Bravant les temps et déserts,
Pour finir par atterrir sur ses lèvres,
A bout de souffle, même si je crève,
Rien n’est plus beau que ses bras,
Apaisent la vivacité du cobra.
Ses grands yeux de gazelle,
M’attirant davantage vers elle.
Sa chevelure douce et soyeuse,
Ornant sa tête joyeuse,
Son sourire pulpeux de cerise,
M’enivre, comme un soir d’une brise.
Ses jambes, harmonieuses de colombe,
Dans sa démarche, tout se dresse et ne tombe.
Paysans, trésoriers ou même notables,
Admirent cette créature affable.
Digne des contes des mille et une nuit,
Sans elle Aladin s’ennuie.
Frotte sa lampe merveilleuse,
Aussitôt le génie sort de sa creuse,
Demandant qu’accomplir ses désirs,
J’en ai qu’un, qui me fera plaisir,
Celui d’enlacer ma reine,
Pour oublier toutes mes peines.
troubadour © copyright (Avril 2009)
Bonsoir quel beau poème que j’ai pris plaisir à lire bravo
Douce soirée Ouzag amicalement
Je vous remercie pour ce commentaire, qui flatte l’humble plume en herbe que je suis, je vous remercie , mes amitiés.