Légère comme l’air, la plume d’oie enfin libérée
S’envole loin de l’emprise d’un vil oreiller.
Au dehors, un vieux chat roux baroude et rôde
Alors que sous les cris des vents les roches s’érodent.
Disparues dans les méandres du temps qui passe,
Égarées dans un vaste désert sentimental,
Périssant tel l’oiseau dans sa cage de métal,
Perdues, les pensés fugaces de l’esprit s’effacent.
Où es-tu parti ? Toi qui Jadis étais là.
Tu pensais des mots doux pour panser mes maux durs.
As-tu succombé à la mort sûre d’une morsure ?
Ou de cette douce folie étais-tu las ?
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©Kévin Casimir – 14/08/2018
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Beau et fin partage merci.
Bonjour Kévin,
Merci pour vos beaux partages poétiques !
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Bien à vous,
Alain
Un poème heureusement retrouvé. Quel bon et beau moment…
merci à vous
J adore ♥ ce poème m a vraiment touché
merci. j’ai laissé aller mon esprit tel enseignement de John Keating dans le cercle des poètes disparus où il disait dans son court de laisser aller son esprit, d’essayer d’imaginer même si c’est une absurdité.
Oui … un bien beau film “le cercle des poètes disparus” … Votre texte est très beau … merci beaucoup :)
merci à vous