Une grande aventure
De tirer avantage
Regarder la verdure
De beaux paysages.
D’aller à toute allure
Vers l’attrait des villages
D’explorer les ruelles
Bondées et leur tapage.
Mais, je hais les panneaux.
De signalisation.
Des nausées des poteaux.
Et une confusion.
Toutefois, j’ai d’angoisse.
Cris et agitation.
Je déteste l’impasse.
Feu rouge et congestion.
J’ai ma propre façon.
D’organiser mon tour.
Voler entre les pages.
D’îles magnifiques…
Où je vole et je nage.
À l’horizon épique.
Bouger comme l’abeille.
Je bourdonne et je pique.
Partout et à travers.
Mon grimoire magique.
Le feu est toujours vert.
Loin de toute panique.
L’allure des verdures.
Cette belle atmosphère.
Je sentirai leur air.
En magie du désert.
Et je navigue sur,
L’océan et la mer.
Les îles et les plages.
Les ruisseaux des rivières.
J’ai besoin d’un voyage.
Où je vole et je nage.
Ma façon d’être haut,
D’embrasser les nuages.
Accueillir le lever.
À côté de mes pages.
Profiter du coucher.
Et de tourner la page.
J’ai tellement besoin.
Et d’une âme rêveuse.
D’un rêve et d’aller loin.
Vers les vues glorieuses.
J’ai seulement besoin…
Des idées fabuleuses.
Découvrant tous les coins.
En humeur merveilleuse.
De mon livre qui ivre.
Prendre direction Paris.
Et le musée du Louvre.
De faire des paris.
L’atlas qui voit le ciel.
Qui me prête ses ailes.
Et son tapis volant.
Et prendre mon élan.
Et me fait voyager.
À travers des beaux contes.
Et de me faire songer.
Voilà ! C’est ce qui compte.
Aussi je vais plonger.
Je saute et je surmonte.
J’atteindrai l’apogée.
Des montées et descentes.
Je peux me diriger.
Sans mon sac de couchage.
Naviguer, voyager.
Loin des embouteillages.
Et je vais où je veux.
Sans charges des bagages.
Et je veux attraper.
La neige et les nuages.
Et je n’ai pas besoin.
Des moyens de transport.
Ou de se diriger.
Vers les gares, les ports.
D’obtenir le visa.
D’user le passeport.
Quelle imagination.
Quel bien-être et confort.
Alors, j’aime, ce monde,
À travers ce bouquin.
J’aime les continents.
Le patrimoine humain.
J’adore les capitales.
De Tokyo à Berlin.
Et de faire un voyage.
De Tunis à Pékin.
Et approcher sans crainte.
Des loups et des requins.
Bravo très beau Saber,vous m’avez fait voyager.Merci.
Le commandant Saber a garé son Airbus pour prendre des moyens de transport moins polluants et surtout moins coûteux pour le porte-monnaie….
Comme vous avez raison…