Le corps appuyé sur les oreillers
Je me laisse doucement aller à mes pensées.
Mon esprit part dans un très long voyage
Bien au-delà de ces nuages,
Là, où tu vis,
Où peut-être parfois, tu souris,
Livré à cette souffrance,
De cette sempiternelle absence.
Je suis loin et tellement proche de toi,
Que je ne compte plus le nombre de fois
Où j’ai vraiment cru défaillir d’angoisse,
Jusqu’à ce que la lune décroisse.
Seul cet amour qui nous porte,
Nous soutient, nous exhorte,
A continuer d’espérer,
Que le meilleur est à venir, va arriver.
Je ne laisserai jamais passer la moindre occasion,
Pour te dire, te répéter, avec douceur, affection,
Tous ces mots tendres qui restent les mêmes,
Et qui te disent combien je t’aime !
Copyright© 2017 Gyslaine LE GAL
Nombre de Vues:
26 vues