« L’unique flamme »
A mes brûlants désirs que tu voulais cueillir…
Au sang de mes fantasmes que tu osais défier…
A mes cris de plaisir que tu voulais franchir…
Au rang de mes orgasmes où tu t’es arrêté…
Tu as franchi le seuil d’un domaine sacré
Sans comprendre l’ampleur de mon grand univers,
Tu as bafoué l’accueil d’un règne massacré
Sans entendre mon cœur de ton chant à l’envers.
A mes feux déployés, ton mensonge a brûlé.
Aux veines ouvertes, tu as signé le diable.
A mes yeux destitués, ronge ton os fané.
Aux reines ouvertes, tu resteras minable.
Je suis la noble dame
Au fourreau d’une lame
Qui soufflera ma flamme
D’être l’unique Femme.
Texte : Vincent Dumoulin, le 14/03/2016
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Merci pour vos partages Vincent !
Amitiés,
Alain
C’est comme une merveilleuse musique que l’on écoute avec délice sans voir le musicien, sans savoir qui joue… Le mystère demeure et ce n’en est que plus beau